FIFA International soccer
Après des années à souffrir en vue de dessus, avec le mythique "Kick-off", sur Master system, la découverte d'une nouvelle console, la megadrive, et de mon premier jeu de foot en "vue TV" a été une révélation.
A l'époque, pas besoin de vrais noms de joueurs, ni même de clubs, totalement absents de cette version.
Juste des équipes nationales, une jouabilité très simple, et une option qui fera la légende du jeu: la possibilité de s'enfuir pour tenter d’échapper à un carton de l'arbitre (bon, en fait l'arbitre vous rattrapait toujours, mais qu'est-ce que c'était drôle!).
A l'époque, les commentaires étaient assurés par Ron Barr, mais à l'écrit, tandis que les buts se fêtaient avec des animations sur l'écran géant du stade. Ca a quand même bien changé depuis !!
Premier de la lignée, il a engendrée une série longue de 20 ans, qui continue encore aujourd'hui comme la référence du marché.
Dick Tracy
Le légendaire Dick Tracy face aux grands méchants du trottoir d'en face!
Sur une voiture ou à pied, à coup de mitraillette ou de cocktails explosifs, le grand Dick et son imper jaune détruisaient tout sur leur passage.
Sur une voiture ou à pied, à coup de mitraillette ou de cocktails explosifs, le grand Dick et son imper jaune détruisaient tout sur leur passage.
Dans une succession de niveaux, plus difficiles les uns que les autres, dont je n'ai personnellement jamais vu la fin face à la difficulté incroyable du jeu, Dick affrontait des truands qui voulaient l'empêcher de régler ses comptes avec Big Boy Caprice, qui avait tué son beau père.
Des heures durant, je tentais de venir à bout des voitures, gangsters et autres Boss des différentes plateformes, sans jamais réussir à aller au bout.
Mais à lire les commentaires sur le web, je peux au moins me dire que je ne suis pas le seul!
Golden Axe
Prenez un séjour en Espagne, une borne d'arcade mangeuse de Pesetas, et vous obtiendrez la magie de Golden Axe.
D'abord en arcade, donc, puis sur Megadrive, il fallait tenter de sauver le royaume, pris dans les griffes d'un grand méchant qui avait enlevé le Roi et sa fille.
Disponible en multijoueur, avec la possibilité d'incarner l'un des trois héros, chacun ayant des caractéristiques et des pouvoirs magiques différents.
Des heures et des heures avant d'arriver finalement au bout de la quête proposée à travers tout le royaume, à pied ou à dos de dragons.
Un des meilleurs Beat'em all de l'époque, encore aisément jouable aujourd'hui. On passera sur les suites plus ou moins réussies, qui n'ont pas terni la légende de Golden Axe.
Super Mario Land
LE classique parmi les classiques. Achat automatique avec la Game Boy à l'époque, on y incarne le plombier moustachu, comme d'habitude à la recherche de Daisy, capturée, à nouveau, par des méchants vilains pas beaux.
On passe dans des Ersatz de pyramide, de temple Chinois, Incas, et jusque sous la mer, pour délivrer Daisy, qui se révèle en fait être un monstre ressemblant à une mouche, sauf au tout dernier niveau, ou c'est véritablement elle.
Bon, le jeu n'est ni long ni difficile, mais il se joue et se rejoue à l'infini, de quoi rentabiliser très facilement l'achat à l'époque.
De quoi lancer, là aussi, la saga des Marios, qui se continue aujourd'hui sur tous les supports du monde et d'ailleurs
Bon, le jeu n'est ni long ni difficile, mais il se joue et se rejoue à l'infini, de quoi rentabiliser très facilement l'achat à l'époque.
De quoi lancer, là aussi, la saga des Marios, qui se continue aujourd'hui sur tous les supports du monde et d'ailleurs
Street of Rage
Prenez Golden Axe. Transportez le concept en milieu urbain, et ajoutez des "méchants" un peu plus Funky, et vous obtiendrez Street of Rage.
Toujours la même histoire, Adam, Axel et Blaze, trois jeunes flics (dur à croire quand on voit leur accoutrement, mais bref), tentent d'arrêter le grand méchant, Mister X, qui a fait des trucs de méchant.
Prenez Golden Axe. Transportez le concept en milieu urbain, et ajoutez des "méchants" un peu plus Funky, et vous obtiendrez Street of Rage.
Toujours la même histoire, Adam, Axel et Blaze, trois jeunes flics (dur à croire quand on voit leur accoutrement, mais bref), tentent d'arrêter le grand méchant, Mister X, qui a fait des trucs de méchant.
Des voyous Punks, des boss de fin de niveau différents et variés, tout est là, y compris la question piège de Mister X lorsqu'on le rencontre.
Le vilain nous propose d'intégrer son organisation criminelle, et lorsque l'on refuse, énorme frustration, il nous renvoie en arrière dans le jeu, et il fut recommencer pour revenir lui casser la gueule en bonne et due forme.
Le vilain nous propose d'intégrer son organisation criminelle, et lorsque l'on refuse, énorme frustration, il nous renvoie en arrière dans le jeu, et il fut recommencer pour revenir lui casser la gueule en bonne et due forme.
Comme Golden Axe, le mode multijoueur permet d'incarner le personnage de son choix, mais là, pas de pouvoirs magiques, mais des voitures de police qui viennent envoyer un grand coup de bazooka dans la tête des ennemis.
Tellement mythique qu'il a eu deux suites, et a été réédité sur la nouvelle génération de console. Un vrai must!
Tellement mythique qu'il a eu deux suites, et a été réédité sur la nouvelle génération de console. Un vrai must!
Tetris
Que dire? Jeu infini, prenant, très souvent copié, jamais égalé.
Pas la peine d'en faire des caisses, si vous n'avez jamais joué à Tetris, vous n'êtes pas un gamer.
Que dire? Jeu infini, prenant, très souvent copié, jamais égalé.
Pas la peine d'en faire des caisses, si vous n'avez jamais joué à Tetris, vous n'êtes pas un gamer.
Zelda : Ocarina of time
Voyage dans le temps. Map énorme. Capacité de déplacement incroyable. Quêtes innombrables. Scénario de folie. Dans ce qui est probablement le meilleur des Zelda, les donjons se suivent, mais ne se ressemblent pas. Les ennemis sont variés, et diffèrent selon le moment de la journée, puisque le jeu alterne les périodes jour/nuit, et certaines quêtes se réalisent à des moments précis, de quoi allonger la durée du jeu, déjà plus que respectable à la base.
Dans un jeu qui se vendait rarement sans la soluce tant il est difficile de venir à bout sans aide, le plaisir était énorme. On voyait les effets du temps sur un royaume tombé au main du ténébreux Ganondorf, et le rôle de Link était, comme toujours, de sauver la Princesse Zelda.
Difficile de passer à coté de ce chef d'oeuvre, qui, aujourd'hui, n'a toujours pas trouvé son égal.
Voyage dans le temps. Map énorme. Capacité de déplacement incroyable. Quêtes innombrables. Scénario de folie. Dans ce qui est probablement le meilleur des Zelda, les donjons se suivent, mais ne se ressemblent pas. Les ennemis sont variés, et diffèrent selon le moment de la journée, puisque le jeu alterne les périodes jour/nuit, et certaines quêtes se réalisent à des moments précis, de quoi allonger la durée du jeu, déjà plus que respectable à la base.
Dans un jeu qui se vendait rarement sans la soluce tant il est difficile de venir à bout sans aide, le plaisir était énorme. On voyait les effets du temps sur un royaume tombé au main du ténébreux Ganondorf, et le rôle de Link était, comme toujours, de sauver la Princesse Zelda.
Difficile de passer à coté de ce chef d'oeuvre, qui, aujourd'hui, n'a toujours pas trouvé son égal.
Metal Gear solid
Premier gros titre de la Playstation, tellement révolutionnaire que même les émissions de télé en faisaient la promo, Metal Gear Solid a été l'une des plus grosses claques de la console de Sony.
Jeu d’infiltration ou la vraie intelligence artificielle des ennemis nous compliquait la tâche, Hideo Kojima, créateur de la série avait poussé le vice jusqu'à créer des Boss qui ne pouvaient être battus que grâce à une astuce (Saloperie de Psychomantis!).
Ramper, se cacher, étrangler, utiliser son radar, cacher les corps, se recouvrir de ketchup pour faire croire à sa mort....Les possibilités du jeu étaient énormes, et surtout, c'état une vraie révolution pour l'époque.
Passer des ennemis champignons de Mario aux soldats capables de suivre vos traces de pas dans la neige était un grand pas en avant dans le réalisme et la difficulté, mais cela n'a en rien gâché le plaisir de jouer.
La saga s'est fait mondialement connaitre à partir de cet opus, qui a lancé la carrière de Solid Snake, fer de lance des consoles Sony depuis lors.
Avec la nouvelle génération de console qui arrive, on espère que l'on aura droit à d'autres aventures du même acabit!
Premier gros titre de la Playstation, tellement révolutionnaire que même les émissions de télé en faisaient la promo, Metal Gear Solid a été l'une des plus grosses claques de la console de Sony.
Jeu d’infiltration ou la vraie intelligence artificielle des ennemis nous compliquait la tâche, Hideo Kojima, créateur de la série avait poussé le vice jusqu'à créer des Boss qui ne pouvaient être battus que grâce à une astuce (Saloperie de Psychomantis!).
Ramper, se cacher, étrangler, utiliser son radar, cacher les corps, se recouvrir de ketchup pour faire croire à sa mort....Les possibilités du jeu étaient énormes, et surtout, c'état une vraie révolution pour l'époque.
Passer des ennemis champignons de Mario aux soldats capables de suivre vos traces de pas dans la neige était un grand pas en avant dans le réalisme et la difficulté, mais cela n'a en rien gâché le plaisir de jouer.
La saga s'est fait mondialement connaitre à partir de cet opus, qui a lancé la carrière de Solid Snake, fer de lance des consoles Sony depuis lors.
Avec la nouvelle génération de console qui arrive, on espère que l'on aura droit à d'autres aventures du même acabit!
Pokemon version rouge
A l'époque, la mode était aux petits monstres dont on devait prendre soin. Après les Tamagotchis, ce fut donc au tour des Pokémons de débarquer et de conquérir le monde.
151 monstres à attraper, certains présent uniquement dans une des deux versions, donc une vraie interaction avec les copains obligatoire. Une durée de jeu impressionnante, que ce soit pour la quête principale ou pour le remplissage du Pokédex, des quêtes improbables et légendaires (bon, il existe alors, ce Mew, ou quoi?)
Là aussi, c'est la base de ce qui est devenu une franchise légendaire (jeux, peluches, dessins animés, cartes....), notamment à cause d'un Pokemon qui ressemblait pourtant à la base à un rat : Pikachu.
Des dizaines d'heures de jeu, des aventures interminables, des accessoires improbables, et des petites bêtes à foison dans les hautes herbes. De quoi créer un mythe, qui créé l’événement à chaque édition d'une nouvelle version.
Et vous, si vous faisiez votre Top 10 Jeux vidéo, vous y mettriez quoi?
A l'époque, la mode était aux petits monstres dont on devait prendre soin. Après les Tamagotchis, ce fut donc au tour des Pokémons de débarquer et de conquérir le monde.
151 monstres à attraper, certains présent uniquement dans une des deux versions, donc une vraie interaction avec les copains obligatoire. Une durée de jeu impressionnante, que ce soit pour la quête principale ou pour le remplissage du Pokédex, des quêtes improbables et légendaires (bon, il existe alors, ce Mew, ou quoi?)
Là aussi, c'est la base de ce qui est devenu une franchise légendaire (jeux, peluches, dessins animés, cartes....), notamment à cause d'un Pokemon qui ressemblait pourtant à la base à un rat : Pikachu.
Des dizaines d'heures de jeu, des aventures interminables, des accessoires improbables, et des petites bêtes à foison dans les hautes herbes. De quoi créer un mythe, qui créé l’événement à chaque édition d'une nouvelle version.
Et vous, si vous faisiez votre Top 10 Jeux vidéo, vous y mettriez quoi?